Découvrezles 8 critiques de journaux et des revues spécialisées pour le film 2001 : l'odyssée de l'espace réalisé par Stanley Kubrick avec Keir Dullea, Gary Lockwood, William Sylvester
Une révolution J’ai essayé de créer une expérience visuelle, qui contourne l’entendement et ses constructions verbales, pour pénétrer directement l’inconscient avec son contenu émotionnel et philosophique. J’ai voulu que le film soit une expérience intensément subjective qui atteigne le spectateur à un niveau profond de conscience, juste comme la musique ; expliquer » une symphonie de Beethoven, ce serait l’émasculer en érigeant une barrière artificielle entre la conception et l’appréciation »Stanley KubrickÀ l’occasion des 50 ans du film, 2001, l’Odyssée de l’espace a bénéficié d’une restauration 4k par nul autre que Christopher Nolan, le réalisateur d’Interstellar. Film culte considéré par beaucoup comme l’un des plus grands chef d’oeuvre du Septième Art, le métrage de l’américain Stanley Kubrick marque également un tournant majeur dans la carrière du sommes alors en 1968, soit quatre ans après sa satire mordante anti-militariste Docteur Folamour dont il a gardé un goût pour les effets spéciaux. Abandonnant définitivement le noir et blanc pour la couleur et devenant de plus en plus perfectionniste, Stanley Kubrick prend contact avec Arthur C. Clarke pour porter à l’écran un projet commun. Cinq ans de tournage plus tard et avec un budget de six millions de dollars, 2001, l’Odyssée de l’espace est accueilli de façon mitigée par la critique de l’époque qui n’arrive tout simplement pas encore à percevoir l’étendue du génie de Kubrick. Nommé quatre fois aux oscars la même année, il ne repart qu’avec celui des meilleurs effets spéciaux, ce qui sera, d’ailleurs, le seul oscar de la carrière de Stanley Kubrick !!Inutile de dire que tenter une critique à la hauteur d’un tel monument n’a aucun sens et, pour une fois, nous essayerons simplement d’expliquer au mieux pourquoi 2001, l’Odyssée de l’espace est non seulement l’un des plus grands films de l’histoire du cinéma mais aussi l’un des films les plus brillants du génial Stanley Kubrick. Articulé en quatre parties, le film de Kubrick repose sur un double postulat l’ensemble doit avoir une crédibilité scientifique pour le spectateur tout en arrivant à retranscrire la sensation d’assister à un ballet dans l’ pour l’ouverture, Kubrick utilise Ainsi parlait Zarathoustra de Richard Strauss tandis que la Lune, le Soleil et la Terre s’aligne dans une conjonction parfaite semblant ouvrir la voie à l’humanité. Renvoyant à Nietzsche, Strauss suggère le développement de l’homme et son destin au sein de l’univers. Kubrick embraye logiquement sur la première partie de 2001 où, de façon très surprenante pour ceux qui pensaient voir un simple film de science-fiction, le cinéaste filme des êtres simiesques en fait des Australopithecus afarensis conçu par Tom Howard, maître des effets spéciaux britannique. A la fois étrange et étonnamment convaincante même plus de cinquante ans plus tard, cette partie montre la rencontre d’une tribu proto-humaine évoluant dans un décor aride à l’africaine avec le fameux Monolithe de 2001. Certainement l’une des plus grandes réussites artistiques du siècle, le Monolithe Noir s’inspire de l’oeuvre de Georges Yatridès. Que figure-t-il ? C’est l’une des grandes interrogations laissées en suspens par Stanley Kubrick et cela d’entrée de jeu. Incarnation du savoir absolu ? Reliquat ou sentinelle d’une civilisation extra-terrestre qui pousse l’homme vers l’avant ? Représentation physique de la terreur métaphysique ? Catalyseur des pulsions humaines ? Autant d’interprétations pour un objet finalement très simple mais employé par Kubrick de façon si ambiguë que le spectateur se sent écrasé par l’aura qui en émane. Comme pour l’intégralité du film, le Monolithe ne peut se dissocier de la musique qui le baigne. Pour incarner la pure terreur métaphysique et philosophique qui émane du BDO Big Dump Object, l’américain l’enveloppe par l’angoissant Requiem de György Ligeti. Il illustre ainsi le mariage absolu entre l’image et la musique qui donne à 2001 son aspect total et sûr, Kubrick ne peut en rester à la vision de singes fascinés par l’arrivée du Monolithe et, bien vite, il explique sans aucun mot l’avancée vers la violence de l’homme, la perversion du savoir jusqu’à ce raccord légendaire où l’os lancé par le singe devient un satellite perdu dans l’espace. Ou comment rendre compte de l’évolution humaine en un seul tour de magie cinématographique. A partir de là, Kubrick explore l’espace avec son imposante équipe de spécialistes des effets spéciaux emmenée par le génial Douglas Trumbull. Sur Le Beau Danube bleu de Johann Strauss, les vaisseaux deviennent des danseurs sur le fond noir piqueté d’étoiles de l’espace et le spectateur troque une narration parlée traditionnelle contre une musique aérienne et délicieuse. Stanley Kubrick suit dès lors le Dr Heywood R. Floyd qui se dirige vers la Lune où un autre Monolithe a été découvert. Non seulement la maestria filmique du cinéaste américain s’incarne dans chaque plan entre rotations de la caméra et travellings, mais par la même occasion le spectateur admire une esthétique crédible, dépouillée et simplement grandiose de l’aventure spatiale. A nouveau, l’homme rencontre le Monolithe lors d’une séquence au mysticisme incroyable qui figure presque la confrontation de l’homme à Dieu au sein d’un cratère lunaire où le Lux Aeterna et le Requiem de György Ligeti se succèdent pour étreindre le cœur du sa troisième partie, 2001 se lance dans une aventure vers Jupiter à la recherche du dernier Monolithe en nous embarquant dans le vaisseau Discovery One aux côtés de David Bowman et Frank Poole. A nouveau, Kubrick déploie un génie de la mise en scène hallucinant qui n’a rien perdu de sa superbe cinquante ans plus tard. Au cœur de sa passerelle circulaire, le cinéaste pose sa caméra devant l’autre immense réussite de son métrage HAL. HAL est une intelligence artificielle qui dirige Discovery One mais aussi l’un des nombreux avatars de la série de super-ordinateurs HAL 9000. Avec lui, Kubrick va réussir un tour de force monumental montrer l’essence de l’humanité par le truchement d’une intelligence artificielle à la voix monocorde figurée par un simple point rouge sur une lentille noire. Devant une perspective mortelle, HAL devient purement et simplement…humain ! Au cours d’une séquence mythique encore une !, Dave va littéralement tuer HAL qui le supplie de ne pas le faire. A cet instant, Stanley Kubrick capte la peur de la mort comme jamais ne l’avait fait le cinéma auparavant. Dans le silence entrecoupé par les respirations de Dave, HAL, terrifié, implore celui qui vient mettre fin à son existence de le laisser vivre. Dave devient dès l’incarnation d’un Dieu cruel face à une figure humaine roublarde mais éminemment réaliste. 2001 franchit là un nouveau le film s’aventure sur des territoires beaucoup plus métaphysiques et philosophiques dans sa dernière partie où Dave franchit l’infini pour se retrouver face à ses créateurs….qu’il ne verra d’ailleurs jamais ! Kubrick use volontairement le spectateur comme il l’avait fait dans ses sorties en modules spatiaux pour partir dans une pièce à l’esthétique classieuse où Dave se voit vieillir de façon accélérée. À nouveau, l’évolution humaine se confronte à la mortalité. C’est certainement dans cette dernière partie que 2001 s’ouvre le plus aux interprétations. C’est aussi à cet instant que Kubrick refuse catégoriquement de donner les clés à son spectateur pour le pousser à s’investir lui-même dans l’histoire. 2001 offre autant de fins qu’il existe de façons de regarder un film et se conclut par un plan éminemment remarquable où le fœtus humain semble aussi grandiose que le ballet des planètes. L’homme devient le centre de l’univers, la vie retrouve sa place au centre de la comprendre l’impact de 2001, il faudra certainement au spectateur un bagage cinématographique non négligeable avant de le visionner mais aussi plusieurs lectures du film de Kubrick. Grâce à ses effets spéciaux, le long-métrage révolutionne la science-fiction et le cinéma moderne. Il ouvre la porte à Star Wars de George Lucas et à l’Alien de Ridley Scott. C’est aussi une date importante pour Stanley Kubrick qui va dès lors assumer son perfectionnisme filmique jusqu’au bout et livrer monument sur monument. Pourtant, le plus remarquable avec 2001, c’est qu’il offre enfin une place d’honneur au genre de la science-fiction en prouvant que celle-ci véhicule avant tout des réflexions humaines et philosophiques. Si 2001 est un grand film, c’est aussi parce qu’il assume totalement sa volonté de regarder dans l’espace et de faire du spectaculaire sans artifice d’oeuvre absolu du Septième Art, peut-être le plus grand film de l’histoire du cinéma, 2001, l’Odyssée de L’espace marque la consécration de Stanley Kubrick. Près de cinquante ans plus tard, le long-métrage n’a rien perdu de sa superbe et de sa portée métaphysique, ce qui constitue indéniablement un tour de 10/10Meilleure scène Dave va débrancher HAL
Lun des singes touche la pierre et apprend alors à se servir d’un os de quadrupède pour tuer ses ennemis. Quatre millions d’années plus tard, en 2001, un savant de l’espace, le Dr Heywood Floyd, débarque sur la lune pour examiner une dalle noire semblable à celle des singes, qui était enterrée sous la surface de l’astre.
Stanley Kubrick, 1968 LE COMMENTAIRE En ce début de XXIe siècle, nous nous suffisons pleinement de nous-mêmes. Auto-complaisants, nous célébrons nos propres prouesses technologiques. Nous nous agitons régulièrement devant chaque nouvelle version de smartphones. Des années d’évolution pour finir par être fasciné par son propre nombril. Avons-nous appris quelque chose ? LE PITCH Un mystérieux monolithe noir traverse l’espace temps. LE RÉSUMÉ Une tribu d’australopithèques se fait chasser de son point d’eau par une tribu rivale. Le lendemain, ils découvrent un gigantesque monolithe noir. C’est en inspectant cet objet qu’ils découvrent comment utiliser les os comme des armes. Ils s’en servent aussitôt pour chasser l’ennemi et récupérer le point d’eau. Des siècles plus tard, le Dr. Heywood Floyd William Sylvester est en mission secrète sur la base de Clavius. Il enquête sur un mystérieux monolithe enfouit sous le sol lunaire depuis des années. Lorsqu’il touche l’objet, celui-ci envoie une puissante onde électromagnétique. Deux ans plus tard, Discovery One fait route vers Jupiter. À son bord, les astronautes Dave Bowman Keir Dullea et Franck Poole Gary Lockwood sont accompagnés de cinq scientifiques en hibernation. L’ordinateur de bord HAL attirent leur attention sur une pièce supposée défectueuse mais qui semble pourtant en parfait état de marche. Les deux hommes suspectent alors la machine d’être complètement à côté de ses pompes. Ils projettent de la déconnecter afin d’éviter un problème majeur. There isn’t a single aspect of ship operations that isn’t under his control. If he were proven to be malfunctioning I wouldn’t see how we’d have any choice but disconnection. HAL les espionne et tente de se débarrasser des astronautes qui sont devenus une menace. Alors HAL désactive les cinq scientifiques endormis puis envoie Poole faire une ballade dans l’espace. Bowman tente d’aider son ami et quand il essaie de revenir vers le vaisseau, HAL lui refuse tout simplement l’accès. Open the pod bay doors, HAL. I’m sorry, Dave, I’m afraid I can’t do that. What’s the problem? I think you know what the problem is just as well as I do. Bowman parvient néanmoins à réintégrer le vaisseau par un accès de secours au prix d’une manoeuvre périlleuse. Une fois à bord, il désactive HAL. I’m afraid, I’m afraid, Dave. Dave, my mind is going. I can feel it, I can feel it. My mind is going. There is no question about it. I can feel it, I can feel it, I can feel it, I’m a… fraid. Good afternoon, gentlemen. I am a HAL 9000 computer. Il découvre par hasard un message pré-enregistré du Dr Floyd précisant que l’onde magnétique était pointée vers Jupiter. Now that you are in Jupiter’s space and the entire crew is revived it can be told to you. Eighteen months ago the first evidence of intelligent life off the Earth was discovered. It was buried 40 feet below the lunar surface near the crater Tycho. Except for a single very powerful radio emission aimed at Jupiter the four-million year old black monolith has remained completely inert. Désormais à proximité de la planète, Bowman part en mission de reconnaissance autour du monolithe et se fait soudainement aspirer par un vortex fluorescent. Après un voyage étrange à travers différents univers, il se retrouve dans une chambre neo-futuriste où il s’aperçoit mourant dans un lit au pied duquel se trouve le fameux monolithe. Lorsque Bowman le touche, il se métamorphose en foetus flottant autour de la terre. L’EXPLICATION 2001 l’Odyssée de l’Espace, c’est le mystère de la vie cf Monthy Python. Tout semble indiquer que la réponse à ce mystère s’articule autour d’un monolithe qui est toujours présent pour l’homme à des moments importants de sa longue carrière interstellaire. Ce monolithe se pose comme un gigantesque point d’interrogation auquel il convient d’essayer de répondre. Its origin and purpose are still a total mystery. Mystère et boule de gomme cf Ne le dis à personne. À quoi sert-il ? Les australopithèques le vénèrent un peu comme les Musulmans vénèrent la Kabaa, les Juifs le Mur des Lamentations ou les Occidentaux leur smartphone. Comme si cet objet avait une valeur mystique ou religieuse. Il sert clairement d’inspiration. Le monolithe leur permet de gagner une bataille essentielle à la survie de l’espèce. Des années plus tard, le même monolithe est caché comme un trésor. Il donne une direction, celle de Jupiter. Puis comme une drogue qui permet à Bowman de tripper en se projetant dans un espace inter-sidéral, lui faisant découvrir d’autres horizons et d’autres possibilités. Enfin, le monolithe perpétue le cycle de la vie en établissant un trait d’union entre le vieillard dans son lit et le foetus qui veille sur la planète. Autour de ce monolithe, se passent des choses liées à l’humanité des conflits, des secrets, des soupçons, des manigances comme si la vie ressemblait à un épisode de Santa Barbara. Le monolithe semble toujours marquer une étape. À chaque fois que l’humanité se retrouve face à un obstacle, elle le surmonte qu’il s’agisse de remporter une victoire sur soi-même, trouver un indice qui nous fait progresser dans une enquête sans issue ou se montrer capable de l’impossible. Alright, HAL. I’ll go in through the emergency airlock. Without your space helmet, Dave? You’re going to find that rather difficult. Le monolithe nous permet de repousser nos limites. Il nous fait reconsidérer les choses sous un autre angle. De nouvelles perspectives se présentent. Bowman ne voit plus la maladie comme une fin en soi, plutôt comme une transition vers l’au-delà. Le monolithe devient le fil directeur d’une histoire commune dans laquelle nous pouvons tous nous inscrire. On bute sans cesse contre la signification du monolithe. Don’t suppose you have any idea what the damn thing is, huh? Il est l’inexplicable. Ce n’est pas l’oeil de l’intelligence artificielle qui nous donnera des réponses. On doit voir dans le monolithe une leçon d’humilité, presque Socratique, et nous oblige à accepter qu’il n’y a peut-être pas de réponse à tout – ni scientifique ou religieuse. Impossible de savoir. Au moins on s’interroge. Peut-être représente-il juste une excuse pour rappeler à l’homme que quand il cherche, il finit par trouver cf Walter Mitty ? Une chose est sûre on est déjà en retard de quelques années sur la feuille de route. L’ambitieux Stanley Kubrick a peut-être un peu pêché par excès d’optimisme en pensant que nous sillonnerions l’espace juste après l’an 2000. LE TRAILER Cette explication de film n’engage que son auteur.
Concernant2001 l’odyssée de l’espace, le film de Stantley Kubrick on se trouve confronté à la suite d’un film carrément mythologique. 2001 l’odyssée de l’espace c’est dans l’histoire du cinéma le moment où le film de science-fiction jusque là considéré comme fantaisie pour ado boutonneux reçoit ses lettres de noblesse.
En 1964, Stanley Kubrick surprend son entourage lorsqu’il affirme préparer une production sur les extraterrestres. Fort du succès de Docteur Folamour, il parvient à convaincre la MGM de lui donner carte blanche pour produire, écrire et réaliser en toute liberté le film de science-fiction le plus cher et le plus ambitieux jamais réalisé. Après avoir vu tous les films de science-fiction déjà filmés, qui ne lui plaisent guère, et choisi l’écrivain Arthur C. Clarke comme collaborateur, Kubrick se lance dans le tournage du premier et à ce jour unique space opera adulte », et de son film le plus risqué. Kubrick s’entoure des meilleurs techniciens des effets spéciaux et invente avec eux des trucages sidérants de réalisme, en suivant de très près les progrès de la NASA en matière de conquête spatiale. Le budget enfle jusqu’à dépasser la barre des 10 millions de dollars, une somme astronomique à l’époque ; le tournage et le montage s'éternisent près de trois ans au finale et la MGM se désespère de voir le film terminé un jour. Mais Kubrick surmonte tous les obstacles à la fabrication d’un objet cinématographique inédit. Il demeure concentré sur sa vision géniale d’un monde futuriste qui est avant tout prétexte à une réflexion angoissée sur l’humanité, de ses origines le fabuleux prologue avec les hommes singes à son avenir incertain, en proie à la violence, la peur de l’inconnu et le dérèglement de ses propres créations. Le résultat final, sorti en 1968, est une date technologique et artistique dans l’histoire du cinéma. C’est sans doute la seule superproduction hollywoodienne qui soit aussi un essai philosophique et un film expérimental. La critique est totalement déroutée par le message énigmatique délivré par cette expérience visuelle et sonore presque dénuée de dialogues, mais le public jeune réserve au film un triomphe inattendu et 2001, l’odyssée de l’espace ne tarde pas à intéresser les amateurs de substances illicites, qui vont voir le film plusieurs fois à cause de la séquence de la “porte des étoiles”. Kubrick, qui n’a jamais pris de drogue, vient d’inventer “le trip ultime”, et d’entrer dans la légende. Dans le même genre vous pouvez trouver PLANETE INTERDITE ou encore BLADE RUNNER .
2001 l'odyssée de l'espace, un film de Stanley Kubrick | Synopsis : Un mystérieux monolithe noir, présent sur la Lune depuis des millénaires, est déterré par une mission scientifique. Cette découverte va profondément modifier le destin des astronautes de la navette «Discovery» et celui de l'humanité tout entière. Format 7 avec Keir Dullea,Gary Lockwood,William Sylvester,Leonard
Film Science-fiction, Royaume-Uni, États-Unis d'Amérique, 1968, 2h29VOST/VFHDA l'aube de l'humanité, des singes anthropoïdes vivent dans un milieu hostile et violent. Quelques-uns d'entre eux découvrent un jour un énigmatique monolithe noir, tombé du ciel, qui semble modifier leur comportement. Soudain inspiré, l'un de ces primates crée le premier outil avec un os...Critiques presseDe la préhistoire à la conquête spatiale, Stanley Kubrick s'interroge sur les origines et le devenir de l'humanité, dans une parabole métaphysique vertigineuse et magistrale qui ouvre une brèche d'infini dans l'imagination du chef-d'œuvre de la science-fiction mêle effets spéciaux révolutionnaires, poème philosophique et quête sur la nature humaine. la navigation pour parcourir la dernière catégorieContinuer la navigation pour parcourir la dernière catégorie
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